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Marie Locatelli (verified owner) –
Ces pantoufles vides à même le sol devant un fauteuil dégarni suggèrent l’absence : celle de la mère de Federico.
Elles provoquent un tsunami de souvenirs, d’interrogations et de questions sans réponse.
Le poids de ce non-amour induit une difficulté existentielle dont on ne guérit jamais.
Ce livre est un roman plus qu’émouvant, écrit comme une symphonie, teintée de rires, de pleurs et d’ironie.
Un vrai plaisir de lecture
Elisa (verified owner) –
Un pur bonheur de lecture de la 1ère à la dernière page. Un roman émouvant qui vibre de sincérité et de sensibilité. À lire absolument
Gaëtan S. (verified owner) –
Je n’ai pas pu me défaire de ce livre avant de l’avoir lu complètement.
Je dois dire que cette confrontation de Federico Pratola avec une avalanche de souvenirs morbides déclenchée par la mort de sa mère m’a proprement impressionné et peut-être plus !
Si ce roman m’a conquis c’est certainement par sa problématique centrale : les rapports monstrueux ou pseudo monstrueux de Federico avec sa mère.
Mais c’est aussi pour beaucoup par son style. En effet ,j’ai adoré la façon dont l’auteur décrit une partie de l’histoire ouvrière de Longwy et dans le détail, la petite cité ouvrière de Landrivaux, ses habitants et ses commerçants de l’époque avec pour chacun quelques caractéristiques bien choisies dans lequel est né et a vécu Federico, sans oublier son bon copain Silvio et leurs aventures tragi-comiques.
Et puis des choses comme le coup de la “vache qui rit” qui ne ne fait plus rire Federico ou encore la “bière du Pêcheur” responsable de son aventure peu glorieuse décrite d’ailleurs magistralement dans le détail et d’autres choses encore qui nous préservent avec humour un peu de la tragédie de ce héros qui pense avoir une vie par défaut, qu’il n’a pas été désiré ou encore qui endosse comme s’il n’avait pas assez de problèmes, les souffrances de son père résistant et déporté.
Après avoir écrit 2 essais, l’auteur nous offre un premier roman passionnant dans la lignée d’Albert Camus…
Félicitations !
M.C –
Ce roman exaltant relève de l’intime. Il nous transporte avec la même verve qu’un grand classique littéraire, à une époque qui ravive les souvenirs authentiques d’une région et d’une population d’émigrés.
A travers moult anecdotes et souvenirs, ce récit généreux en révélations intimes et en questionnements nous livre une profonde réflexion à propos de la relation qui s’était tissée au fil des années entre Federico et sa mère.
Ce roman fluide, sans concession aucune aux poncifs de l’écriture actuelle, animé par des dialogues en dialecte bergamasque avec sa mère est par ailleurs ‘’illustré’’ de nombreuses références musicales.
Il fait suite, pour moi, aux deux premiers essais que j’ai lu du même auteur: « Déjà-presque-mort mais encore-si-terriblement-vivant » et « Un chemin de croix » qui abordent tous deux des sujets graves, profonds dans un registre presque académique, mais qui se lisent avec la même facilité démontrant les qualités d’écrivain et l’éclectisme dont est capable Jacques Fabrizi.
SPILLMANN Philippe –
Une vie par défaut ?…
La mère de Federico, médecin, décède. Il l’apprend dans des circonstances singulières. Dans les minutes et les heures qui vont suivre, un cataclysme intérieur se déclenche, et libère une avalanche de souvenirs enfouis, qui vont remonter à la surface.
Tout au long du roman, Federico nous fera partager alternativement ses souvenirs « intérieurs », en décryptant l’intimité des relations douloureuses avec sa mère depuis « sa plus tendre enfance », et ses souvenirs « extérieurs », avec la description quasi-cinématographique du quartier au sein duquel il a grandi, ce quartier de Landrivaux peuplé d’immigrés italiens comme son père, travaillant dans la sidérurgie, avec un panel de personnages truculents et attachants. Et contrairement à beaucoup de romans actuels se penchant sur le milieu ouvrier avec un style souvent démagogique, l’auteur utilise ici un style littéraire élaboré, au vocabulaire exigeant. Il rend ainsi ses lettres de noblesse aux petites gens : le contraste est ainsi plus saisissant lorsqu’il glisse dans le récit quelques expressions populaires en bergamasque.
En suivant ce double chemin intérieur et extérieur, l’auteur nous amène à nous questionner sur le destin, le déterminisme… Federico, l’enfant d’ouvrier immigré italien, devenu médecin, a réussi à s’échapper du déterminisme social. Mais existe-t-il aussi une sorte de déterminisme affectif, psychique, dont il serait encore plus difficile de s’extirper ? Peut-on fuir, rejeter, évacuer son histoire familiale avec ses secrets, ses non-dits, ses drames enfouis, sans qu’ils nous reviennent et nous paralysent, immanquablement ?
En refermant ce livre, j’ai pensé à Cavanna, mais surtout à Proust et à Camus. J’ai repensé à ma mère, et je me suis remémoré de nombreux instants de mon enfance et de ma jeunesse, avec ses étapes-clés…
Il n’y a pas qu’entre le médecin et son patient qu’il y ait un dialogue singulier, il existe aussi entre l’auteur, et son lecteur.
Philippe Spillmann.
Luc Schmitt (verified owner) –
Un livre très bien écrit. Je l’ai lu d’une traite sans aucun ennui. C’est le 3eme ouvrage de l’auteur, ce dernier étant qualifié de roman. Il apparait sur une forte base autobiographique, mais est-ce un défaut!
Les grands écrivains sont souvent de jeunes vieux car ils écrivent sur ce qu’ils n’ont pas vécu ou très peu vécu. Quelle mine de plus riche que la vie même par défaut.
A force de décrire le négatif cela oblige de s’écrire de plus en plus en positif.
Dias S. –
Merci Docteur Jaques Fabrizi de m’avoir réconciliée avec la lecture.
J’ai avalé ce livre d’une traite. Je le conseille vivement à tous.
Il pousse à la réflexion et laisse place à l’imagination.
Bravo et Merci.
Angelo Baretti (verified owner) –
Passionnant et émouvant de la première à la dernière page, ce roman, pourtant si personnel, nous pousse à fouiller dans les tréfonds de notre mémoire pour y retrouver les non-dits et les blessures cachées.
A la fois captivant, drôle, vrai, ce beau livre nous parle d’amour.
Merci à Jacques Fabrizi pour ce beau partage.
Danièle S. –
J’ai beaucoup aimé le livre. La lecture a été très plaisante.
Des souvenirs d’enfance ont refait surface.
Je l’ai lu d’une traite, j’avais hâte de découvrir la suite.
Merci à l’auteur pour ce beau et émouvant récit.
J’attends une suite !
Nasciolimo –
MG
Un roman émouvant et éprouvant dont le cadre décrit parfaitement la vie d une famille d immigrés dans une cité ouvrière et populaire. L auteur à fleur de peau nous livre sa sensibilité et sa vérité. J ai beaucoup aimé ce roman…j attends impatiemment les suivants
Moglia Moglia –
Un livre passionnant et très émouvant , un magnifique ouvrage très bien ecrit , je l ai lu en 2 jours , j ai ressenti beaucoup d émotions , merci Jacques j attends le prochain avec une vive impatience, encore bravo , je le conseille à tous. Merci pour cette lecture très captivante .
Ronconi –
Ce roman de Jacques Fabrizi est à la fois une formidable et nostalgique remontée dans le temps et une introspection réfléchie, douloureuse de lucidité et sans concession sur lui-même et ses rapports aux siens( notamment sa mère).
C ‘ est aussi une analyse très fine sur les conséquences de ces ambiances familiales lourdes de non- dits, de faux- semblants où l ‘ enfant doit deviner ce que sont vraiment les adultes qui l ‘ entourent.
Ces enfants seront toute leur vie emprunts d ‘ une volonté de comprendre, ils seront toujours( et dans leur vie d ‘ adultes), des personnes d ‘ une sensibilité extrême aux ambiances et aux autres.
C ‘ est un livre sur les conséquences des comportements familiaux, sur l ‘ impossibilité de se parler, de se connaître vraiment et surtout de se comprendre.
Et c ‘ est aussi, la recherche désespéré d ‘ un amour inconditionnel d ‘ un enfant tout au long de sa vie.
Soyons vigilants de ce que nous transmettons.
À lire absolument !
Ronconi –
Ce roman aurait pu être adapté par Igmar Bergman pour le cinéma.
Al –
Docteur Fabrizi, un humaniste, un auteur intimiste, capable de mêler émotions introspection puissance des mots et de la narration.
Quand la lecture devient le film de l’existence.
Déroutant !
MORHAIN –
Merci beaucoup pour votre roman qui une fois lu ne peut nous laisser indifférent. Le phrasé, les mots employés par Federico sont comme une douce musique mélancolique avec son lot d’altérations, de nuances et de soupires, ce qui fait que ce roman est comme un moment suspendu, une parenthèse inattendue.
Ce roman laisse à réfléchir sur le lien que l’on souhaite entretenir avec ses parents lorsque nous héritons de ce défaut fondamental à la naissance. Je pense surtout qu’il agit comme une thérapie et nous appelle à la plus grande indulgence envers ceux qui nous ont fait naître, appris, recadré, aimé et des fois mal aimé, qui nous ont valorisé et parfois brimé, qui nous ont expliqué tout en laissant en suspens les questions d’enfants , les enfants qui ont besoin de comprendre qui sont ses parents pour comprendre qui ils sont.
Merci d’avoir partagé votre expérience avec pudeur en nous livrant de manière authentique vos souvenirs les plus personnels.
Soyons vigilant à parler, à dire, à expliquer à nos enfants, cela prend beaucoup d’énergie mais cela est fondamental.
Benoit